18 août 2005

 

Vamos a la playa

Après la Méditerranée fin juillet, me voici donc au bord de l'océan Atlantique. Rien à voir, évidemment. Autant la première était houleuse et tiédasse, autant ce dernier est plat et froid. Glacé, même. Mais je ne me suis pas démonté (comme la mer) et je m'y suis jeté (à l'eau). 19°. C'est froid, quand même.

Je suis donc parti de Nantes vers 10H du matin, Nico m'avait déposé près de la gare en partant à son travail. Une heure de TER plus tard, j'arrive à Pornic, charmant petit port que je connaissais déjà de ma première visite au mois de mars. L'été étant passé par là, les touristes et les degrés centigrades étaient nettement plus nombreux, mais rien d'insupportable. Un panini et un coca m'accompagnaient jusqu'à la plage, soit un petit kilomètre de marche sur le joli sentier côtier qui quitte le vieux port par le nord-ouest pour atteindre le nouveau port.

J'installe ma serviette, je me visse l'iPod sur les oreilles (plutôt funky aujourd'hui) et j'alterne avec quelques bonnes feuilles des chroniques de Diastème dans 20 ans, Un peu d'amour. Une découverte de Zou, ce bonhomme tourmenté mais diablement attachant. Je grille tantôt dessus, tantôt dessous, histoire d'entretenir mon teint espagnol. De temps en temps, je vais me tremper un orteil dans l'eau glacée. Au bout de plusieurs essais infructueux, je prends mon courage à deux mains et je me lance à l'assaut des non-vagues (on aurait dit le lac d'Annecy, et pas que pour la température !). Wouah! ça rafraîchit les idées...

L'après-midi a passé comme ça, entre petites baignades rapides et séchage au soleil et au vent (on est presque en Bretagne, quand même !), avec une longue pause sur une chaise longue à l'ombre d'un parasol, au bar de la plage. Et puis vient - trop vite - l'heure du retour, du TER vers Nantes, du rentrer-à-la-maison, de la douche et du dîner.

Après manger, petite sortie en centre ville pour y retrouver Muriel (ou Murielle ?), une amie de Nico avec qui nous descendons des ti-punchs parfaits, puisque copieusement garnis en citron vert. C'est le secret, ça, les citrons verts en abondance dans le rhum et le sucre de canne.

Demain est un autre jour. Plage encore ? Pourquoi pas ?

Une petite pensée pour tout le monde, Jef et Steph qui sont en vacances eux aussi, Nono et Sof qui bossent, Zou qui rabat des dindons sous des hélicoptères (mais c'est quoi, ton vrai boulot ?), Matt et Nat qui sont toujours en Malaisie, si j'en crois leur blog. Bisous à tous !

Cissane 2005
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