19 août 2005
On tire dans l'tas !
Après une très sympathique soirée chez Murielle (donc ça s'écrit comme ça) où nous avons dégusté une pierrade roborative, Nico me fait découvrir sa passion inattendue pour le jeu Halo 2 sur XBox. Il a reçu cette console pour son dernier Noël, et nous voilà, 66 ans à nous deux, en train de dégommer des méchants monstres sur des planètes fantasmagoriques, et ce jusqu'à près de 3H du matin. Et ça nous plaît tellement, de jouer ensemble, de s'épauler l'un l'autre et de lancer des commentaires défoulant sur nos adversaires, qu'on remet ça au petit déjeuner. Si bien qu'il est déjà 14H quand on décide de partir pour la plage.
Retour à Pornic, mais cette fois-ci sur la jolie petite plage de la Joselière, une crique enserrée entre les rochers et les buissons, et fouettée par un océan déchaîné : bien que le temps soit au beau fixe (un ciel sans tache), la marée qui monte a un fort coefficient, de 98 je crois, et les rouleaux d'écume viennent mourir loin sur le sable, forçant les familles à reculer très vite leur campement. J'ai un bon souvenir de ces marées qui montent très vite : quand j'étais petit, avec mes parents on allait sur l'île d'Oléron, et quand l'océan avait décidé d'envahir votre serviette, on ne pouvait pas vraiment y échapper.
La plage de la Joliette
Après une longue après-midi de bronzage/discussion/lecture/sieste au soleil et au vent de l'Atlantique, retour à la maison, non sans prendre le temps de se munir de deux bonnes pizzas, afin d'assurer une soirée jeu vidéo des plus réussies. Mais la fatigue nous prend nettement plus tôt qu'hier, et demain on a prévu d'aller à La Baule, sur l'immense plage de sable fin.
J'ai reçu une photo de Jef en train de se faire bronzer au bord d'une piscine. C'est vrai qu'avec Steph ils profitent de leurs derniers jours de congés dans une petite maison d'hôtes dans le Gard, près d'Uzès. Un pays que j'aime bien, aussi.
C'est déjà le week-end, le dernier de mes vacances à moi. Lundi, je reprends le chemin du travail, et cette année on ne peut pas dire que ça m'enchante. Mais c'est la vie, non ?
Cissane 2005
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Retour à Pornic, mais cette fois-ci sur la jolie petite plage de la Joselière, une crique enserrée entre les rochers et les buissons, et fouettée par un océan déchaîné : bien que le temps soit au beau fixe (un ciel sans tache), la marée qui monte a un fort coefficient, de 98 je crois, et les rouleaux d'écume viennent mourir loin sur le sable, forçant les familles à reculer très vite leur campement. J'ai un bon souvenir de ces marées qui montent très vite : quand j'étais petit, avec mes parents on allait sur l'île d'Oléron, et quand l'océan avait décidé d'envahir votre serviette, on ne pouvait pas vraiment y échapper.
La plage de la Joliette
Après une longue après-midi de bronzage/discussion/lecture/sieste au soleil et au vent de l'Atlantique, retour à la maison, non sans prendre le temps de se munir de deux bonnes pizzas, afin d'assurer une soirée jeu vidéo des plus réussies. Mais la fatigue nous prend nettement plus tôt qu'hier, et demain on a prévu d'aller à La Baule, sur l'immense plage de sable fin.
J'ai reçu une photo de Jef en train de se faire bronzer au bord d'une piscine. C'est vrai qu'avec Steph ils profitent de leurs derniers jours de congés dans une petite maison d'hôtes dans le Gard, près d'Uzès. Un pays que j'aime bien, aussi.
C'est déjà le week-end, le dernier de mes vacances à moi. Lundi, je reprends le chemin du travail, et cette année on ne peut pas dire que ça m'enchante. Mais c'est la vie, non ?
Cissane 2005
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